Le projet continue et évolue dans les écoles !
Avec l’aide des instituteurs, les élèves ont laissé libre court à leur imagination par l’écriture d’une histoire. La seule contrainte : un objet imposé pour détourner les codes de l’école. L’histoire est d’abord mise en dessin, comme une planche de bande dessinée afin de préparer la mise en photographie.
Les histoires, lues par les élèves, permettent une appropriation nouvelle de l’école. Par le récit, le globe terrestre prend vie, les bananes se multiplient et envahissent l’école, un livre s’en va lire un autre livre….
Mais alors, comment traduire ces imaginaires en photographie ? Les équipes se constituent : chaque élève joue un rôle et s’implique dans l’histoire de ses camarades. A la fois photographe, acteur ou assistant, l’élève participe activement à l’élaboration d’un travail collectif autour de la séquence photographique.

